Hunter × Hunter
Hunter x Hunter
Gon est un jeune garçon intrépide et aventureux qui vit chez sa tante Mito. Son rêve : devenir un Hunter, comme son père. Les Hunters forment une caste à part. Ce sont des personnes qui ont dédié toute leur existence à la recherche d'espèces rares, de mets inconnus, de territoires inexplorés ou encore de ...
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| Terminée | JP | 23 minutes |
| Science-Fiction & Fantastique, Action & Adventure, Animation, Comédie, Drame | Fuji TV, | 1999 |
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1.58 -
Gon X Killua X Encore des risques
Gon × Killua × Deadly Chase
Leorio est parvenu à retrouver la trace de deux membres de la Brigade et en à informer Killua et Gon. Ces deux derniers vont alors les prendre en filature.
Diffusion originale : 24 février 2001
Diffusion française :
24 février 2001
Réalisat.eur.rice.s :
Yukihiro Matsushita
Scénariste.s :
Guest.s :
Galax
L’épisode ne paie pas de mine mais je l’ai juste adoré !
Entièrement centré sur une filature, la montée en tension progressive de celle-ci donne à l’épisode un rythme assez fou. Il manage super bien le teasing sur ce qui est à venir (le pouvoir du chef de la brigade fantôme, l’intervention de la famille Zoldyck…) en plus de construire tout sur la base des arcs précédents : la famille de Kirua, le niveau de pouvoirs flippant de la brigade fantôme avec l’exemple d’Hisoka, l’entraînement au Nen avec le Zetsu et Leolio qui illustre vraiment la différence de niveaux et de lore qu’on a depuis le début.
Et surtout, la traque de l’épreuve Hunter, avec littéralement le même twist : les chasseurs étaient eux-mêmes chassés sans qu’ils ne s’en rendent compte, dans des plans finaux glaçants avec des conséquences bien plus lourdes.
Le charisme de chaque membre de la brigade fantôme est assez dingue ce qui rend leurs aspects surhumains (l’intuition folle de Machi qui capte que leurs ennemis doivent connaître Kurapika, la vitesse de déplacement à la fin, etc.) étonnamment réalistes et très intimidants.
Même l’intrigue de la mafia Nostrad au tout début possède une atmosphère tout de suite plus sombre avec une Senritsu et un Kurapika sous tension qui donnent le ton.
Mais ce sont bien les cinq dernières minutes qui sont vraiment excellentes.